QU’ELLE ETAIT BELLE CETTE UTOPIE
de Jacques Rossi
Mise en scène : Michel Sigalla
Avec Christine Lapsca, Anatole Pereverzev et Michel Sigalla
Masque et décor : Vincent Tailhardat Création au Théâtre le Proscénium (Paris).
Jeune communiste français et agent du Komintern, Jacques Rossi est rappelé en 1937 à Moscou. Il passera plus de vingt ans au goulag.
L’occasion de raconter des histoires étonnantes d’où n’est pas exclus un certain humour noir.
NOTE D’INTENTION L’histoire est une chose, le théâtre en est une autre. Ce serait une erreur de vouloir faire une reconstitution historique sur le plateau avec le réalisme que cela implique.
Si le metteur en scène ainsi que les acteurs doivent connaître la matière historique –et les mécanismes psychologiques qui en découlent- il est, bien entendu impossible, même en connaissant bien l’histoire, de vivre par procuration ce qu’a vécu l’auteur.
Il nous reste ce qu’il a voulu faire savoir : son texte. C’est par un travail sur le texte, sans idées préconçues, qu’on a des chances de faire passer au mieux ses intentions.
EXTRAITS DE PRESSE « Guidés par une mise en scène fine et modeste, les acteurs savent trouver le chemin de l’émotion en captant avec une placide sobriété le malheur qui coule et la révolte qui gronde » Myriem Hajoui / À Nous Paris
« Les acteurs sont admirables de sincérité, de sobriété, de nuances… » Marie-Céline Nivière / Pariscope
« Textes hallucinants, teintés d’humour noir…dites par Michel sigalla et ses complices, ces chroniques n’en prennent que plus de relief » Marine Gérard / Rouge
« Je suis impressionné par la vérité qui se dégage de la représentation théâtrale de mes textes » Jacques Rossi
